Les temps ont changé

C’est incroyable le monde dans lequel nous vivons actuellement. Je me rappelle le jour où j’ai eu mon tout premier ordinateur, un Macintosh Performa 400 (vers 1992). À cette époque, il était vraiment rare de voir un ordinateur dans une maison. Le chargement d’un navigateur et la connexion à l’Internet étaient une tâche en soi – et où alliez-vous une fois connecté ? L’e-mail était un outil intéressant, mais à qui pouvait-on envoyer un e-mail ? AOL représentait tout ce que j’avais et je payais à la minute pour attendre impatiemment que quelque chose se passe – le chat à l’époque était le truc à la mode.

Ces choses ont changé. Les ordinateurs sont pratiquement partout, même dans votre voiture, dans votre poche et même le plus minuscule ordinateur dans ma poche est pratiquement toujours connecté. En un claquement de doigts, je peux apprendre pratiquement tout ce que je veux, aller où je veux, explorer les offres de chateau a vendre dordogne par exemple et acheter ce que je veux.

Je ne regarde pas les nouveaux outils comme quelque chose à craindre, mes appareils électroniques ne sont pas vus comme des motifs, ils font simplement partie de ma vie câblée. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) ne sont pas un problème.

Voici la déconnexion

Ce qui ne progresse pas aussi vite que ma vie câblée, c’est mon industrie non câblée et beaucoup de nos pairs. Beaucoup sont encore bloqués au PC et au courrier électronique et cela m’inquiète. Cela m’inquiète parce qu’au niveau de la racine, beaucoup n’ont pas accepté ces avancées sur le plan personnel et craignent donc professionnellement tout ce qui n’est pas sous leur contrôle.

Aujourd’hui, les gens sont câblés et ont besoin d’être informés. Le public est câblé, la base de consommateurs l’est également, le monde est en feu avec les fils, et cette minuscule industrie d’un million ou plus semble prête à ignorer l’évidence à son propre niveau de base – j’avais l’habitude de demander pourquoi, mais je pense que je le comprends maintenant.

Cette minuscule minorité connue sous le nom de profession immobilière croit vraiment que le monde va réellement s’arrêter, ralentir, se retourner et revenir en arrière.

La ligne de départ a changé

En tant que lecteur d’AG qui peut être coincé et effrayé par les changements de paradigme au niveau professionnel, vous devriez regarder attentivement le niveau personnel dans lequel le monde autour de vous évolue, et je pense que c’est à ce moment-là que vous comprendrez ce que cela signifie que la ligne de départ a changé.

J’ai utilisé les mots  » point de départ  » pour une très bonne raison dans mon analyse lorsque j’ai dit que la ligne de départ a changé ; cela signifie  » changement de jeu « , et non  » fin de jeu « .

La ligne de départ a changé.

Pour que tout et n’importe quoi dans votre vie soit couronné de succès, il faut comprendre quand la ligne de départ a bougé afin de pouvoir même courir la course. Ignorer ce fait signifie que vous vous retrouvez à courir une course qui n’est plus courue.

Il est important de comprendre que la ligne de départ a été déplacée.

L’ère de l’ignorance est une bénédiction

C’est l’ère de la félicité ignorante. Cette mentalité fonctionne-t-elle pour deux agents en concurrence dans le même quartier pour la même part de marché ? Est-ce que cela fonctionne pour deux maisons de courtage concurrentes dans la même ville ? Non, ça ne marche pas. Les deux courent aussi fort qu’ils le peuvent à partir de la ligne de départ qui est visiblement devant eux. Ici, c’est la survie du plus fort. Il s’agit à la base d’un effritement de la part de marché qui se termine inévitablement par une perte pour les deux concurrents. Par Analogie, deux gars entrent dans un bar, il n’y a qu’une seule fille à conquérir, ils flirtent et avancent mais n’arrivent à rien parce qu’ils ont été arrogamment inconscients du fait qu’elle flirte avec le barman. Ma conclusion pour les MLS, les conseils d’administration et les agents est vraiment simple en ce sens qu’il est temps pour cette industrie de se lancer dans la course ou de changer le jeu – et nous pouvons le faire d’abord en reconnaissant qu’il y a une course tout court. La conscience est la félicité.